Test du Specialized Diverge Comp 2017

Posté le 24/12/2016 à 0 h 20 min par dans Matériel, Specialized, Tests, Vélos complets

Lors de sa sortie, j’avais eu du mal à comprendre le positionnement du Specialized Diverge ayant déjà un VTT (Specialized Epic) pour les chemins très cassants, un vélo de route pour l’entraînement et la route (Specialized Tarmac), un vélo de cyclo-cross pour les pavés, le gravel et les chemins propres (Focus Mares CX) et un vélo pouvant me servir pour le vélotaf (Bianchi route passé en single).

Specialized Diverge Comp

Ce vélo conçu à l’intersection de tout cela et pouvant remplir plus ou moins chacun des usages décrits plus hauts sur à peu près tous les terrains me semblait dès lors un peu superflu, tout comme les freins à disques équipés par défaut dès 2015 sur ce modèle d’ailleurs.

Specialized Diverge Comp

J’avais donc envie de le tester pour conforter mon point de vue. Je n’imaginais pas avant le test que j’allais radicalement changer d’avis.

Premier contact visuel

Au premier abord, ce vélo est très racé et dispose d’une géométrie slopping qui promet dynamisme et stabilité. Les bases épaisses et la fourche très large promettent quant à elles bonne résistance et rigidité. Ce vélo fait moderne et, sous ses airs d’hybride un peu pataud avec la fourche et les bases épaisses, dégage une sorte de force sereine. On sent qu’il est rigide, bien conçu et qu’il peut apporter pas mal de plaisir.

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Le poids de 9kg qui peut paraître élevé au soulevé pour un vélo tout carbone quand on vient d’un pur vélo de route autour de 7kg, n’est pas plus étonnant que ça dès qu’on enjambe le vélo. Le vélo semble alors très robuste malgré son aspect sportif comme évoqué plus haut. Il dispose d’ailleurs d’un centre de gravité bas très agréable qui lui garantit, on le verra plus en détails après, un comportement rigide très sécurisant en mouvement.

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Le design moderne est complété par les freins à disque, les inserts d’élastomères zertz dans les bases et la fourche ainsi que par la tige de selle COBL GOBL-R finissant de donner une touche de fun au vélo. Outre le design, ces ajouts apportent une dose de confort non négligeable.

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La déco est très sobre, la robe de ce modèle étant entièrement constituée de noir brillant avec, en y regardant de plus près, les fibres de carbone très serrées apparentes.

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Le S de Specialized sur le tube de direction et un écusson métallisés sur le cadre sur le tube vertical viennent renforcer l’aspect brut du design conféré par le lettrage ton sur ton sur le tube oblique. L’ensemble des câbles et des durites est routé de manière interne au cadre.

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L’équipement

Le modèle essayé est le Diverge Comp 2017 tel que présenté sur le catalogue Specialized. Contrairement aux vélos spécialisés de la gamme (jeu de mot inside…), c’est à dire le Tarmac ou le Roubaix dédiés à la route et le Crux dédié au cyclocross, ce Diverge présente quelques aménagements de prévus pour de futurs accessoires. C’est très bien vu.

Comme il sera plus facilement utilisé en vélotaf ou sur des chemins, Specialized l’a en effet pourvu de fixations pour garde-boue sur la fourche et le cadre.

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La tige de selle fournie est celle qu’on retrouve sur le Roubaix. Sa construction permet l’amortissement des vibrations verticales induites par les irrégularités de la route. J’ai moins ressenti son effet sur le Diverge que lors de mon test du Roubaix.

Globalement, les équipements sont à la hauteur du vélo. Le seul bémol que j’ai noté concerne les roues. Sans réussir à identifier si le souci venait des moyeux ou des jantes, j’ai noté un souci de rigidité sur l’ensemble malgré l’axe traversant sensé rigidifier tout ça. Face à la rigidité et au comportement irréprochable du cadre, comme on l’a vu, les roues ont été parfois mises en défaut, montrant leurs limites dans les relances, notamment en danseuse, le disque frottant régulièrement et assez fort sur l’étrier et la roue semblant être alors un peu molle sur les chemins, ce qui ne m’avait pas choqué sur route ou sur chemins propres.

C’est un peu dommage car on ressent alors une petite faiblesse sur ce point alors que tout le reste respire la rigidité et la transmission totale de l’énergie. Si je devais donc changer une seule chose sur ce vélo, ce serait les roues. J’opterais pour un modèle plus rigide latéralement afin de retransmettre parfaitement l’énergie et éviter la déperdition latérale lors des relances.

Lors du test, les seuls ajouts personnels pour les sorties de test (visibles sur les photos) ont été les porte-bidons, les pédales Look Keo Max Carbone et le support pour Garmin sur le cintre. Le reste est entièrement d’origine et détaillé ci-dessous.

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Cadre : Specialized FACT 10r carbon, tapered head tube, OSBB
Fourche : Specialized FACT carbon w/Zertz, tapered

Roues : DT R460 Disc SCS, thru-axle
Chambres à air : 700×20/28mm, 40mm Presta valve
Pneus : Roubaix Pro, 700×25/28mm, 120TPI, folding bead, BlackBelt protection, Endurant casing

Pédalier : Praxis Zayante, 7075-T6 alloy chainrings
Plateaux : 48/32T
Jeu de pédalier : Praxis BB30

Manettes de dérailleur : Shimano ST-RS685, 11 vitesses
Dérailleur avant : Shimano 105, braze-on
Dérailleur arrière : Shimano 105, long cage, 11 vitesses
Cassette : Shimano 105, 11 vitesses, 11-32t
Chaîne : KMC X11, 11 vitesses

Freins : Shimano BR-785, hydraulic disc, Ice-Tech resin pads w/fins

Cintre : Specialized Shallow Drop, alloy, 125mm drop, 70mm short-reach
Ruban de cintre : Specialized Roubaix Tape w/sticky gel
Potence : Specialized, 3D forged alloy, 4-bolt, 7-degree rise

Selle : Body Geometry Phenom Comp, hollow Cr-Mo rails, 143mm
Tige de selle : Specialized CG-R, FACT carbon, single bolt, 27.2mm

Premiers tours de roue

En montant sur le Specialized Diverge, on est rapidement à l’aise. Si vous venez d’un vélo de route traditionnel, la position sera sensiblement la même. Je l’ai pour ma part fait régler lors de la réception pour le test à l’identique de mon vélo de route. Pas de surprise donc sur ce point.

Le centre de gravité est bas, le poids un peu plus élevé que sur un vélo de route ou de cyclocross en carbone et le cadre est d’une très grande rigidité latérale. C’est le point qui m’a le plus surpris sur ce vélo. Le tressage des fibres du cadre a été travaillé sur ce point, c’est flagrant. La fourche ne fait pas exception non plus. Elle est extrèmement rigide latéralement. Les axes traversants doivent également participer à la rigidité du cadre et de la fourche autour des roues.

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En danseuse, on a l’impression d’avoir un rail entre les mains si bien que les épaules sont mises à contribution. On ne retrouve pas le petit effet retour qu’on peut avoir sur un carbone traditionnel, hors vélos aéro. Même sur mon vélo de cyclocross, je ne ressens pas autant cette rigidité latérale. Par contre, l’avantage de ce ressenti est que la force appliquée passe parfaitement dans le cadre et sur la route et que le vélo est d’une grande réactivité en danseuse. Ayant pu l’utiliser en vélotaf pendant le test, c’est un régal. C’est sportif mais vraiment sympa.

Le freinage hydraulique à disque est bluffant. Puissant, pointu, endurant, c’est un vrai plaisir de rouler, notamment en velotaf par exemple. On peut accélérer fort, freiner fort, recommencer encore et encore. C’est grisant.

Assis, ce vélo est très confortable et transmet à merveille l’énergie vers les roues, on peut alors se promener avec mais aussi envoyer et forcer comme on le ferait avec un vélo de routes traditionnel.

Le comportement sur les chemins

Une fois les routes bitumées laissées dernière et la terre ou les gravillons devant soi, le vélo se révèle très dynamique, sécurisant et agréable. Son comportement ne change pas beaucoup par rapport à celui ressenti sur la route à la différence que sur terrains cassants, la rigidité latérale semble alors bien plus présente. En danseuse, il faut en effet “en avoir dans les bras” pour ne pas fatiguer ou ressentir de faiblesse lors des relances. Cela m’a marqué pratiquant également les chemins avec mon vélo de cyclocross. Le rebond qu’on peut avoir un cyclocross est ici gommé par la rigidité forte du cadre et notamment de la fourche. C’est bluffant et vraiment grisant. On a l’impression de pouvoir accélérer sans cesse en danseuse sans mettre en défaut l’équilibre du vélo ou risquer de tomber à cause des angles pris par le vélo.

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C’est également la différence que j’ai perçue par rapport au modèle Roubaix (ancienne génération) que j’avais pu essayer sur quelques sorties l’année dernière. Le Roubaix avait cet effet de rebond nécessitant de rester assis sur les pavés pour transmettre la puissance éviter de prendre de l’angle ou de faire chasser l’arrière. Avec le Diverge, on a l’impression que pour peu que le corps (et les roues, on y reviendra) suive, la puissance sera transmise qu’importe la position, assis sur la selle ou debout sur les pédales en danseuse, comme si les élastomères zertz fonctionnaient mieux sur ce modèle. En tous cas, l’amortissement des vibrations semble bien meilleur et est ici vraiment flagrant.

Le comportement sur la route

Pour tester ce vélo sur la route, ne sachant pas trop à quoi m’attendre, je suis simplement parti sur mes routes habituelles afin de voir ce qu’il donnait. Le résultat ne m’a pas trop dépaysé de mon Tarmac et m’a même pas mal convaincu.

Ce vélo est une bête à rouler, un vélo performant mais très endurant. Très à l’aise sur tous les terrains, quelle que soit la qualité de bitume. La rigidité latérale du cadre le rend très sécurisant dans les virages, très performant en danseuse et hyper agréable sur les longs bouts droits. Le travail sur les fibres et les inserts de zertz permettent un amortissement des petits chocs et rendent les sorties moins fatiguantes qu’avec un cadre carbone de route traditionnel. Je l’ai particulièrement ressenti sur les petites aspérités de la route. Cela tient à la fois à la construction du cadre donc mais aussi aux roues et pneus utilisés. La plus large section permet d’être moins sujet aux cailloux, gravillons ou traces de boue sur les routes de campagne. Les petits pavés urbains sont aussi avalés comme s’ils n’existaient pas, même à faible vitesse sans pour autant avoir l’impression de perdre en rendement.

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Le Diverge incite à rouler et à rouler longtemps mais ne rechigne pas à envoyer autant qu’un vélo de route traditionnel. Les relances sont un peu moins vives, l’ensemble étant un peu plus lourd et moins réactif à cause du moindre rebond du cadre mais la puissance passe parfaitement et les relances restent très bonnes.

Le freinage est bluffant. Puissant, progressif, endurant. C’est un réel plaisir et cela donne presque envie de ne plus utiliser que cela sur la route tant c’est sécurisant. Reste le poids, plus élevé que sur un freinage traditionnel. C’est peut-être l’une des raisons du poids un peu plus élevé qu’un vélo de route traditionnel à gamme équivalente.

Le positionnement tarifaire

De prime abord, le Diverge peut paraître cher, surtout si on le considère comme un vélo n+1.

Affiché au prix de 3199€, ce vélo fait payer un peu cher ses bonnes performances et son côté multi-usages. Equipé en Shimano 105 mais avec des freins hydrauliques à disque, robuste mais pas aussi léger ni aussi endurant qu’un Ultegra, ce bon vélo fait payer son cadre, sa polyvalence mais aussi certainement son côté novateur. Comme de plus en plus souvent maintenant chez les fabricants de cycles, la montée en tarifs au sein de la gamme se fait au travers de l’équipement si on souhaite apporter un peu de légèreté ou de noblesse à celui-ci.

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Je pense qu’il faut le voir comme un vélo de remplacement d’un vélo de route et/ou d’un vélo de cyclocross et/ou d’un gravel bike pour les personnes qui auraient déjà tout ou partie de cet équipement et qui souhaiteraient diversifier leur pratique sans se prendre la tête du choix et de l’équipement à chaque sortie afin de pouvoir bifurquer à volonté entre les usages pendant les sorties. Une sorte de tout en un homogène et sans réel défaut.

Equipé de pneus à grosses sections ou à picots, ce vélo pourra en effet passer sur des chemins de terre, de gravel ou de cyclocross pas trop cassants. Equipé de fines sections, il remplacera sans souci un vélo de route traditionnel. Equipé comme il est vendu, il sera un passe-partout qui conviendra à la très grande majorité des pratiquants .

Regardé de ce point de vue, le positionnement tarifaire du Diverge paraît donc très cohérent sans pour autant être forcément plus abordable pour tous les cyclistes. L’acheteur potentiel devra donc étudier sa pratique et réfléchir avant d’investir dans ce superbe vélo à tout faire.

Conclusion

Ce vélo est globalement une très belle réussite. Specialized livre avec le Diverge un Endurance/Gravel/Adventure/Road Bike très performant et vraiment bien conçu. Il pourra répondre à presque tous les types de pratique sur tous les terrains pourvu que ceux-ci ne soient pas trop cassants.

Ce vélo m’a vraiment bluffé et convaincu. Possédant plusieurs vélos pour plusieurs usages, j’ai vu en ce modèle la possibilité de ne pouvoir peut-être posséder plus qu’un seul vélo. Je ne pensais pas que cela pourrait arriver un jour ! Ce vélo m’a vraiment plu et j’ai pris beaucoup de plaisir à son guidon, sur route mais aussi sur les chemins.

En réalité, la seule chose que je changerais sur ce vélo, ce sont les roues (moyeux, jantes ou les deux, je ne sais pas…) que j’ai parfois trouvées limites en rigidité latérale notamment dans les chemins ou en danseuse. Le frottement du disque était fréquent bien que la roue ne me semble pas osciller plus que ça visuellement. Ayant un peu poussé la machine pour le test, je pense que ce souci n’en sera peut-être pas un pour la plupart des acheteurs. C’est peut-être aussi le revers du cadre très rigide et absorbant les chocs. Les roues sont alors peut-être mises un peu en défaut de temps en temps ?

Specialized Diverge Comp

Le reste du vélo est au top comme on l’a évoqué ci-dessus et l’ensemble est une belle réussite. Ce vélo est un superbe tout en un, robuste, réactif et confortable. Une bête à rouler qui pourra vous emmener à peu près partout sans perdre en énergie ou en confort. Une sorte de parfait compromis de plusieurs types de vélo qu’on pensait trop différents pour être rapprochés.

Merci au Concept Store Specialized de Lille pour le prêt du vélo ayant servi à la rédaction de cet article.

Plus d’infos sur ce vélo sur le site de Specialized

A propos de

Tombé dans le vélo à l'adolescence, je n'ai cessé de rouler depuis en essayant de constamment suivre l'actualité du monde cycliste. Je vis le vélo comme une passion, un sport et un mode de vie, chaque coup de pédale après l'autre.

5 Réactions

  1. Bonjour Martin,

    Bel article, juste une interrogation ?

    J’hésite actuellement entre un Mares et un Diverge pour un usage Gravel, Vélotaf mais aussi sortie sportive dans bois.

    Je pensais comparer 2 vélos à peu près similaires mais la tu sembles exprimer le fait que pour un usage plus varié le Diverge est plus approprié que ton Mares.

    Me conseillerais tu plutôt le diverge pour l’usage que je veux en faire.? Y aurait il un critère rédhibitoire sur le Mares du fait de ton expérience ? Enfin les plateaux en 48/34 du diverge sont ils un plus par rapport au 46/36 du Mares ?

    Merci !

    OC.

  2. Bonjour OC,

    Oui, ces deux vélos sont assez différents en effet même si proches sur le papier. Le mares est vraiment un vélo de cyclocross, rigide et joueur mais du coup assez raide, notamment au niveau de la fourche et dynamique avec une position de pilotage plus orientée cross.
    le diverge est plus un vélo de route renforcé et adapté pour passer sur tous les chemins sans pour autant être aussi à l’aise (ou léger) qu’un Mares sur les terrains de cross purs.
    Donc, selon moi, si l’idée est de faire du cross avec un peu de route et du vélotaf, je dirais Mares en gardant à l’esprit qu’il n’est pas conçu pour avoir un porte-bagage ou des garde-boue par exemple.
    Si l’idée est par contre de faire plutôt de la route, du velotaf et un peu de cross, je dirais plutôt le diverge mais qui sera limité plus vite sur les chemins un peu plus cassants (cela semble moins vrai avec le modèle 2017 néanmoins…je n’ai pas encore pu le vérifier)
    Quant aux plateaux, avec l’usage décrit juste au-dessus, les deux étaient nickels. J’ai parfois trouvé le Mares limité en développement quand je l’utilisais avec des pneus de 25 sur route et pareil pour le Diverge. Mais pour les chemins, je n’ai jamais rencontré aucun souci ayant une seconde cassette selon le type de pneus pour ajuster les rapports.
    j’espère que mon retour t’aiguille un peu…

  3. Merci Martin,

    Oui tu m’aiguilles beaucoup et je te remercie. Ca m’amène à quelques nouvelles questions mais après promis j’aurais tout compris 😉

    Qu’entends tu pas une position « plus orientée cross » ? Je viens du VTT et ma vraie inquiétude c’est la position, peur d’avoir mal au dos.

    J’ai testé hier en magasin le Diverge, super contortable, position assez relevée, le vélociste a pris le temps de le régler, je fais 1m79 et il m’a orienté vers une taille 56.

    J’ai testé la veille le Focus Mares. Le vélociste m’a orienté vers le 54, et j’ai eu l’impression d’être plus allongé qu’avec le DIverge. Ceci étant pas facile de comparer juste en s’assayant dessus en magasin. Peut être qu’un 56 en Mares aurais été plus judicieux … est ce que une taille au dessus releverait la position ? Ou à ton avis est ce qu’un simple réglage de potence, entretoise , …, permettrait d’avoir une position plus relevée, plus confortable comme sur le Diverge ?

    Le Diverge Comp E5 est à 1899 EUR en 105 avec le ressort de potence mais des freins mécaniques. Le vélociste me propose 100 EUR de cadeaux en plus.

    Le Mares AL 105 est à 1699 EUR, en 105, Freins Hydrauliques, pas de quoi ajouté des accessoires, donc moins aventure que le Diverge. Sauf que le vélociste me le propose à 1359 EUR, il s’aligne sur un prix que j’ai trouvé sur le WEB.

    J’ai donc une prestation et un tarif largement meilleure pour le Focus mais avec une grosse inquiétude concernant la posture.

    Si le Diverge n’était pas si cher je pense que c’est celui que je prendrai car peut être que j’aurais plus un usage Route / Velotaf / Cross. Mais quand je dis route je ne cherche pas non plus une grande vitesse, donc le plateau de 46 du Mares n’est peut être pas trop pénalisant. Occasionnellement je ferai des sorties de 100 km, en cherchant le plus de chemins possibles, c’est assez plat en normandie, sauf quelques forêts valonnées.

    En général je roule seul, donc je n’ai pas à me retrouver à galérer avec un peleton.

    Voilà, si tu as 5 minutes pour ce petit complément d’info je ne pourrai que te remercier 😉

    OC.

  4. Bonjour je suis intéressé par le diverge version 2015-2016. Est ce que ce cadre accepte des pneus cyclocross en 700x35c ? Le passage au niveau des haubans et de la fourche me paraît limité. Merci

  5. Bonjour Anthony,
    Le diverge 2016 accepte des pneus jusque 35 de section. Cela dit, il convient ensuite de regarder précisément la forme du pneu effectivement. Sur certains forums, des utilisateurs parlent de l’utilisation des pneus Conti Cyclocross 35 en section 36mm mensurée sans souci.. Personnellement, je n’ai pas testé de pneus de cyclocross sur le vélo, je ne peux donc pas en dire plus.
    Un revendeur Spé devrait pouvoir vous renseigner précisément.

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